UN PEUPLE SANS MEMOIRE EST UN PEUPLE SANS AVENIR !

http://img502.imageshack.us/img502/8092/070510chiracsarkozy1kz2.jpg


Objet: Que fait l'Etat français le 10 mai: Commemoration des memoires de la traite negriere, de l'esclavage et des abolitions?


Bordeaux, 10 avril 2008

Monsieur le President de la Republique,

Le 10 mai prochain, la République se souviendra pour la 3eme fois des memoires de la traite negriere, de l'esclavage et des abolitions. Cette date est surgie de la memoire de la resistance à l'esclavage et de l'engagement citoyen contre l'oubli. Cette mémoire de la résistance, incarnee par le Colonel Louis Delgres en Guadeloupe dans sa proclamation du 10 mai 1802, est le principal enjeu de l'engagement memoriel de citoyens français, ou non, unis par une commune volonte de valorisation des apports de la diversite.
Si la Republique a toujours eu une mémoire de l'abolition, elle s'est gardee pendant longtemps, d'inscrire dans le récit national l'engagement des esclaves, femmes et hommes, qui ont refuse l'asservissement et par la leur contribution à la liberte et aux droits de l'homme.
Le combat citoyen des associations depuis des annees dans les ex-ports negriers d'abord (Nantes, Bordeaux) a envahi l'espace public national à la fin des annees 90 lors du 150e anniversaire de l'abolition de l'esclavage. Relaye avec vigueur et talent par la Depute Taubira, il aboutira à la loi du 10 mai 2001 déclarant la traite des noirs et l'esclavage: Crime contre l'Humanite.
Depuis c'est le point-mort. L'Etat fait le service minimum. En effet, à part la ceremonie au Jardin du Luxembourg, les Commemorations dans les ex-ports negriers portees par les associations bien avant, il n'y a rien.
Les citoyens français ne peuvent se suffire de ce manque d'ambition, de cette tremblotante perception des enjeux que pose la mémoire de la traite des noirs et de l'esclavage. Le combat n'est pas fini. Rien n'a été résolu. La tension n'est pas relâchée. En effet, si la realité de l'esclavage est ancienne, l'angoisse sociale et politique que constitue sa memoire, qui transcende les frontieres socio-raciales ou nationales, est revelatrice d'un nouveau moment d'intégration nationale.
Car l'esclavage et la colonisation sont les principaux instruments de construction historique des differences raciales et culturelles et par consequent de l'injustice et des discriminations. Les emeutes de 2005 et de 2007 ont prolonge cette ligne de fracture, voilee tres vite du manteau narcissique d'une culture politique mystificatrice et introuvable, aux antipodes de l'ideal republicain, qui se nourrit lui de cette tension dynamique pour évoluer.
Depuis, contraintes de plus en plus évolutives et epreuves pesent sur les populations issues de cette histoire et sont vecues comme des humiliations illustrant l'impasse intellectuelle d'une elite incapable de sortir de la suspicion originelle.
Pour eviter que cette jeunesse, ecartelee entre incitation à l'amnesie, violence du marche et droit à la memoire, ne s'enferme dans le regard qu'on porte sur elle, il faut, Monsieur le Président de la République, une Rupture.
Une volonte politique forte pour la transmission de cette mémoire en traces partageables, donc universelles.
D'abord et avant tout par l'Education. Malgre les recommandations du Comite pour la Memoire de l'Esclavage de Maryse Conde et Françoise Verges, notre système éducatif reste à la remorque. Tres peu de nos enfants savent qu'il a fallu la Revolution Haitienne de 1791 pour que les droits de l'homme soient réellement universels. Dans les milieux universitaires, le conformisme, pire que la censure, fait encore de cette question un tabou malgre les coups de butoir des etudes postcoloniales. Aucun enseignement n'y existe a l'UFR d'histoire de Bordeaux, par exemple.
Nous vous demandons, Monsieur le President de la Republique d'annoncer une volonte forte, en concertation avec l'Education Nationale pour en faire une priorite.
Ensuite par la Commemoration. Les rares ceremonies officielles, expeditives, frustrent plus qu'elles ne reconnaissent. Pourtant la commemoration est indispensable. Par les rituels et les symboliques, elle scelle l'imperatif d'unite politique mais surtout poetique des destinees que l'histoire a mis brutalement en contact. Un Etat se doit coherence.
Nous vous demandons, Monsieur le President de la Republique, d'enjoindre toutes les Prefectures de Metropole à organiser une Ceremonie Officielle Republicaine le 10 mai.
Enfin au niveau Citoyen. Les militants associatifs de toutes origines socio-culturelles sont aussi producteurs de savoirs et de citoyennete. Dans nos villages et villes, ils constituent le rempart le plus solide contre la barbarie, pour la mémoire, la citoyennete, le respect des differences et l'unité politique.
Nous vous demandons, Monsieur le President de la Republique, d'inciter les Prefectures à degager un Budget consequent pour soutenir les multiples initiatives citoyennes, sur tout le territoire, souvent étouffees dans l'œuf.

Education, Commemoration et Citoyennete. C'est le triptyque gagnant du dynamisme republicain. La France est robuste. Nul ne sera opprime. Aucune vengeance à l'horizon.

Et qu'on ne brandisse plus les epouvantails ridicules de « concurrence des memoires » et/ou de « repentance ». Il s'agit de fraternite et d'universalisme. Les travailleurs de memoire savent ce qu'ils doivent au devoir de mémoire. Ils savent que le besoin de ne pas rester fixe à l'événement traumatique l'emporte, que le désir de le reinscrire dans des traces de memoire partageables, est majoritaire.
En conclusion, Monsieur le President de la Republique, si la reconnaissance est la seule façon de sortir de l'oubli des memoires blessees, elle ne peut suffire. La reconnaissance ne peut qu'etre un prealable à l'action en conscience d'où naitra un citoyen nouveau, par besoin interieur et non par loi ou octroi.

Source: ICI




COMMEMORER.......OUI, DITES LE BIEN FORT ET DISTINCTEMENT!

Samedi 10 mai 2008
10 ans déjà après la première marche d'importance qui avait réuni en 1998 à Paris 40.000 personnes, des Français originaires des Antilles, de Guyane et de la Réunion, des Africains, des Blancs, Asiatiques, Arabes... Comme le temps passe vite !
160 ans après l'abolition de l'esclavage dans les colonies Françaises, la question du
"devoir de mémoire" est plus que jamais au coeur des réflexions mémorielles. Faut-il faire la fête, oublier, célébrer ou danser ? D'autant plus que l'Etat Français semble, paraît-il, avoir reconnu sa participation active dans l'entreprise négrière transatlantique ayant vidé l'Afrique de ses forces vives pendant 4 siècles. La preuve de ce MEA CULPA serait l'adoption en 2001 par le Parlement de la loi dite Taubira, députée de la Guyane, reconnaissant la traite et l'esclavage comme un crime contre l'humanité.
Cependant, il y a un bémol, et il est grand, comment parler d'un Crime contre l'humanité
"orphelin" ? Faut-il rappeler que le Parlement et le Sénat, qui ont probablement travaillé sous les pressions "inamicales" de lobbies divers ( Bekés, industriels, ports négriers, descendants d'armateurs et de négriers...), ont trouvé le moyen de ne parler ni des conséquences contemporaines de la Traite des Nègres, ni des descendants des Africains issus du commerce infâme, ni des réparations sous diverses formes, ni des dédommagements, ni des coupables ? Peut-on décemment parler d'un Crime de manière abstraite? Oui ! Il suffit de regarder de constater les contorsions sémantiques, les procès d'intention faits à tous ceux qui parlent d'une "mémoire oblitérée", atrophiée, sous-estimée, alors que la France sait, quand elle le veut bien, rendre hommage à son histoire. C'est dire combien une chape de plomb pèse sur le "devoir de mémoire" relatif à la Traite Négrière Transatlantique. On pourrait même dire qu'il toujours de lourdes chaines qui entourent les consciences.
10 ans après la première grande marche de 1998, il y a un mot qui doit être distinctement prononcé, c'est commémorer. Comment et pourquoi exactement ? Tout simplement pour faire mentir la célèbre phrase du prix Nobel Elie Wiesel
" Le bourreau tue toujours deux fois. La première fois par les armes, la deuxième fois par le silence". Par exemple, par une circulaire parue vendredi dernier au Journal Officiel, l'Etat reconnaît le 23 mai comme date commémorative de l'esclavage par les associations regroupant les Français d'outre-mer de l'hexagone mais maintient le 10 mai, date pourtant choisie par Jacques Chirac comme journée nationale. L'ancien Président de la République n'avait-il pas suivi les recommandations du comité pour la mémoire de l'esclavage (CPME), présidé par l'écrivain guadeloupéenne Maryse Condé ? Comprenne qui pourra. Qu'on ne s'y méprenne pas, le choix du locataire de l'Elysée est une manoeuvre bassement politique. Il s'agit ni plus ni moins que d'alimenter les querelles entre les partisans du "Comité Marche du 23 mai 1998" et bon nombre d'associations "domiennes" qui continuaient à boycotter la date du 10 mai, et tous ceux ayant adopté cette date. Qui peut encore douter de l'importance de commémorer bien haut, fort et dignement, afin d'en finir avec toutes les velléités racoleuses et autres démarches malveillantes ?

Com0506

SOUVENEZ VOUS DU 10 MAI 2006 !

Le spectacle de désolation se précise.

Le CRAN de Patrick Lozès a réussi à jouer son rôle à lui confié par l'ancien maître qui est celui d'empêcher que les Noirs, un temps soit peu, de se serrer les coudes. A l'aide des subterfuges habituels, des envolées lyriques aussi puériles que bêtes, certains sont pris dans leurs filets, tels des nigauds, que dis-je, de grands enfants gâtés.
En annonçant qu'il y aura une grande télévision pour filmer les 2000 personnes qui les aidera à briser leurs chaînes (?), devrais-je dire, les chaînes mentales des instigateurs qui se croient libérés et sont plus que jamais prisonniers en se couchant ? Les moutons ont suivi. Fichtre.
La fascination de la télévision a fini par mettre au pas, certains esprits enfantins, tourneboulés et attirés par des bonbons, par des tee-shirts gratuits, par des rafraîchissements à vil prix de chez **** qui seront distribués semble-t-il. Pitoyable.

Quelle idiotie !

Faire confiance au CRAN, c'est dîner avec le diable dans le même plat. Faire confiance au CRAN, c'est accepter le diktat des autorités. Faire confiance au CRAN, c'est se renier. Faire confiance au CRAN, c'est la pire des choses encore, c'est porter l'opprobre à perpétuité.
Les nouveaux traîtres me semble-t-il, ont oublié très rapidement ceux qui voulaient organiser un grand méchant zouk le 10 mai 2006. Ils s'inscrivent aujourd'hui en faux face à cette allégation qui est la matrice même du fonctionnement du CRAN: le divertissement pour les Noirs.
Aucune prise de conscience, rien, nada. Où sont les revendications ? Ah, j'oubliais, il suffit de faire une grande chaîne humaine à Bastille pour que désormais les ancêtres dorment en paix, que la justice leur soit rendue, que l'égalité s'installe enfin en France.

Tous à Nation !

Source: ICI

LE CRAN-L'ESCLAVAGE APRES L'ESCLAVAGE


C’est un bien sombre miroir que celui qu’offre le CRAN Conseil Représentatif des Associations Noires de France qui a l’ambition d’établir un bilan des discriminations «ethno raciales» en France et de «rétablir une véritable égalité» mais réalise surtout la performance d’être l’imposture la plus représentative de France, sur le modèle du CRIF champion de la mortification toute catégorie.
Une telle ampleur est digne d’un dogme : tout y est aspiré, dompté, et les rituels vont bon train.
Si l’image est grisaille, ce n’est rien de dire que le CRAN est extérieur à l’âme, à l’âme africaine, à l’âme des ancêtres, à l’âme nègre, à l’humanité noire donc à l’humanité toute entière.
On peut commémorer et cacher des œufs en chocolat dans le jardin sur un zouk endiablé cela n’y changera rien : le monde même et les conceptions politiques des choses font deux.
Sur un même coup, un coup je te tire sur la gauche, un coup je te tire sur la droite, toujours avec le même entêtement des mêmes «intellectuels» qui règnent «en boucle» dans l’Etat grâce aux médias aux ordres : la réclame, la propagande, les compromis, le marchandage, les mensonges, avec ses grands prêtres de l’éthique sans aucun lien avec les gens du peuple soumis au verbe, mais qui ne croient plus en la parole qu’on leur sert.

Il ne suffit pas de dire aux gens ce qu’ils ont à faire sans se soucier de ce qu’ils veulent !

Le CRAN est un rempart protecteur destiné à minorer le mot DEPORTATION au profit des seuls déportés de ce monde : les victimes de la shoah, d’ailleurs, c’est après la shoah que le mot DEPORTATION fut inventé : c’est à ce genre de «savoir» que sert le CRAN ?

Les déportés les plus nombreux dans l’histoire de l’humanité sont NOIRS. Cela n’est pas « peut-être », cela n’est pas « lointain », cela n’est pas « oui mais » : c’est une REALITE.

Tout d’abord il faut que tout le monde comprenne bien Patrick Lozès et ses compères, eux aussi en train de bâtir un mur, en France, sur le modèle de l’état Hébreux, un mur «intellectuel» contre l’universalité des souffrances humaines, pour la construction - grâce à des centaines d’étiquettes de kapo - de casemates privées pour que persiste la lumière... la lumière sioniste que l’on doit juste contempler en dépit de la vérité : tous les fondements de l’humanité viennent d’Afrique et les européens anciens avaient déjà la manie du tourisme organisé en Egypte.
C’est en revêtant ce premier vêtement que s’est crée l’occident : en assimilant car il convenait aux pre-sociétés occidentales existantes et s’est maintenu, par la société «chrétienne» puis s’est transmis...à tel point qu’il y a aujourd’hui des indiens chrétiens et des noirs chrétiens : il est d’ailleurs «intéressant» de voir comment et de quoi cela est fait, mais cela est fait...rien de bien glorieux.
Des « commandements » nous enjoignent aujourd’hui de nous habiller de sionisme alors qu’il serait si simple de coudre nos vêtements nous-mêmes !
L’universel est là, tout prêt, à tel point que nous baignons dedans sur Internet et pour nombreux d’entre Les OGRES, dans nos vies.
Nos ancêtres occidentaux ont su prendre historiquement du prêt-à-porter sur des terres « étrangères » nous n’avons aucun mal aujourd’hui à nous civiliser «d’étranger »... sauf quand on nous barre la route !
Mais ce qui a été fait d’autre que de cueillir le savoir est de verser le sang « étranger » et voilà un chapitre à sauter : celui de la traite négrière.

En enterrant ce chapitre c’est un espace mort infini que l’on ouvre.

Le CRAN est un compagnon de vice du CRIF qui comme un morphinomane n’entend que la sagesse de ses propres apprentis sorciers perdus dans une folie présomptueuse : le sionisme, qui entend régner en père sur l’humanité toute entière, manipulant la shoah comme une indépassable séparation entre un avant et un après à leur convenance.

Mais il est d’autres déportés que ceux de la shoah : les déportés africains.

Chaque jour nous côtoyons leurs descendants.

Leur situation doit être clarifiée.

Ils ne sont pas là suite à un raisonnement logique dont ils auraient été demandeurs !

Ils ont été enlevés, ils ont été transportés, ils ont été torturés, ils ont été mis au travail forcé et sont morts par centaines de millions sous le joug de l’esclavage durant des siècles.

Il est refusé aux descendants d’esclaves l’Egalité dans la commémoration des souffrances car il est refusé aux noirs l’Egalité, tout simplement.

Pour quels motifs ?

Des préjugés primitifs, des préjugés du CRIF spécialisé contre l’égalité des êtres humains.
Nous connaissons leur volonté d’empêcher les sentiments humains, leur machiavélisme qui n’a d’autre pensée qu’une guerre en s’attachant à compliquer toute démarche humaniste, tout devoir de VERITE au profit d’Israël, d’Israël comme perfection, perfection dans l’apartheid, y compris mémoriel.
On ne crée pas des citoyens constructifs en les amputant de leur généalogie, en pratiquant la lobotomie mémorielle sélective, fanatique, RACISTE. Ceux qui s’y plient ne sont rien d’autres que de petits affairistes qui méprisent la culture nègre, au demeurant culture noire, riche et qui ne crache pas à la gueule des blancs, elle.
Ne pas cracher à la gueule du monde, n’est pas dans les statuts du CRIF, de ses collabos ou des figurants du gouvernement, mais cracher à la gueule des ancêtres d’une bonne partie de la population mondiale, des morts, en se prétendant bienveillant... c’est une autre forme de génocide et le mal absolu, c’est cracher sur le mot EGALITE car comme le disait Aimé Césaire l’Egalité est ou n’est pas, en toute chose.

Source: ICI

LE CRAN ET SES ASSOCIES REMETTENT LE COUVERT A LA BASTILLE !

Un membre du CRAN ? Possible. - 13.7 ko

Par ELYMB’ADIKALO

Honte à ceux qui pactisent avec le diable, pour satisfaire leur ego surdimensionné au détriment de la mémoire de leurs ancêtres.

Après avoir voulu organiser en grande pompe un carnaval le 10 mai 2006 à la Bastille lors de la commémoration de l’abolition de l’esclavage, le CRAN, S.O.S. machin et certains individus ont prouvé une fois de plus qu’ils ne sont pas dignes d’êtres les représentants de la communauté, encore moins de la cause qu’ils étaient censés défendre, mais se servent de celle-ci comme tremplin pour satisfaire leurs ambitions personnelles et afficher ainsi leur fidélité envers ceux qui leur ont donné naissance (nos bourreaux).

Après cette sortie hasardeuse du 10 mai 2006, nos chers apprentis sorciers étaient en hibernation depuis cette date. Ils n’ont pas abandonné leur plan machiavélique et apocalyptique envers notre communauté (KEMITE).

Cette hibernation qui n’a duré que deux ans, a permis à nos détracteurs ainsi qu’à leurs mentors de mettre sur pied une stratégie finale afin de nous anéantir d’après certaines sources bien informées et autorisées de la place.

Ces derniers qui sont en mission commandée, n’ont pas lésiné sur les moyens cette fois-ci.

Ils ont étoffé leur équipe de démolition de la mémoire de nos ancêtres ainsi que de l’émancipation des nôtres en faisant appel à CLAUDY SIAR de TropiquesFM et d’autres que je tairais les noms mais qui vont se reconnaître dans mes écrits, les dissidents à la mère JOBY VALENTE.

Il est quand même pathétique pour ne pas dire regrettable de constater qu’à l’heure ou tout le monde se bat pour la survie de sa communauté, c’est là ou certains des nôtres brillent sous les effets du syndrome de STOCKHOLM (aliéné je suis, aliéné je resterai).

Pour ce qui vient d’être dit ci-dessus, il suffit de voir comment se comporte les membres du CRAN et ses alliés.

LOZES est un fervent supporter de Bayrou, ce Bayrou qui n’hésita pas à retirer du programme scolaire les œuvres d’Aime CESAIRE quand il était au Ministère de l’Education Nationale.

Dans un même ordre d’idée, PAPE NDIAYE, disciple attitré et servile de PETRE GRENOUILLEAU ne ménage pas ses efforts pour asseoir les thèses négrophobes de son maître.

Cette grenouille empêtrée (PETRE GRENOUILLEAU) n’arrête pas de vomir sa haine sur les KEMITE (voir son livre mensongers sur les Traites Négrières).Ce livre qui lui a valu une récompense de la part du SENAT pour son caractère négrophobe. Belle récompense en effet, il le vaut bien !

LUIS GEORGES TIN, n’arrête pas de nous parler de sa différence lors des réunions, comme si le but premier de notre cause est la lutte contre l’homophobie (qu’il se rassure nous ne sommes pas homophobe bien que ceci ne faisant pas partie des mœurs KEMITE)

En ce qui concerne CLAUDY SIAR, les félicitations venant du camp adverse lors de son acquisition de TropiquesFM laisse à désirer. Entre les signataires, un certain ALEXANDRE ADLER de triste mémoire qui est un farouche opposant à nôtre cause (son soutien à Pascal Sevran après ses délires sur les Noirs), sans oublier que depuis cette acquisition, il n’a jamais invité les hommes censés défendre notre cause à savoir KEMI SEBA, DIEUDONNE MBALLA JEAN PHILIPPE OMOTUNDE, PIERRE NILLON etc. ...

Ceux qui nous demandent aujourd’hui de nous rapprocher du CRAN, peuvent-ils nous donner le bilan de ce machin en terme d’action pour la communauté depuis sa création.

Source: ICI

Template by Oriol Sanchez | blogger template by blog forum